Bovins de boucherie Offre modeste
Les abattoirs restent suffisamment approvisionnés en direct, alors que l’offre est de plus en plus modeste sur les marchés. L’activité commerciale est assez régulière, mais les conditions ne sont pas encore réunies pour enclencher une hausse des prix.
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Sur le marché de Cholet, les tarifs se maintiennent, avec un commerce plus fluide que la semaine passée. Les bonnes femelles parthenaises, blondes d’Aquitaine, limousines et charolaises maintiennent leurs prix. Les vaches charolaises de milieu de gamme (R+ à U–) se négocient de 3,75 à 3,80 €, soit 0,15 € de plus que l’an passé. Les vaches R= se vendent sans difficulté avec une gamme tarifaire qui se situe entre 3,60 et 3,70 €, en fonction de l’âge, du poids et de la race, avec une demande moins soutenue dans les animaux croisés.
Dans les laitières, la tendance est au maintien des cours avec des disponibilités mesurées, mais suffisantes pour les industriels (avec le début des vacances). Les tarifs des bonnes prim’holsteins approchent de 2,75 € dans le Sud, mais elles stagnent autour de 2,70 € dans l’Ouest et le Nord. La valorisation moyenne des P= (+260 kg) se situe entre 2,45 et 2,60 €, en fonction des abattoirs. Les normandes et montbéliardes suivent cette tendance avec des O qui se négocient entre 3,05 et 3,20 €.
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